Madame Ferhatovic est née en 1977 en macédoine. Quand elle était enfant elle est déjà venue en Allemagne une fois. En 1997 elle est venue une deuxième fois parce-qu'elle avait une maladie rénale et elle devait être dialysée. En macédoine il n'était pas possible de traiter cette maladie.
À cause de ça, en 2002 elle a reçu son premier permis de séjour. Mais en 2005 le séjour n'était pas éloignés parce qu’en ce moment-là le macédoine a commencé à dialyser officiellement. Depuis lors, Madame Ferhatovic a eu qu'une autorisation provisoire de séjour jusqu'à – après 15 ans au total – elle a dû être expulsée.
Sa capacité de voyager a été attestée par l'autorité sanitaire de Essen, l'ambassade allemande donnait sa promesse d'organiser la dialyse pour Madame Ferhatovic directement après l'expulsion et la commission sociale assurait de l'argent pour huit semaines. Comme ça, chaque institution avait accompli son devoir. Mais ne personne savait dire comment Madame Ferhatovic pourrait payer le traitement couteux après ses huit semaines. Comment pourrait-elle trouver accès aux services sanitaires sans avoir de la famille? Comment pourrait-elle, une Rome gravement malade, trouver de logement et gagner son quotidien?
Avec une menace d'expulsion, Madame Ferhatovic venait dans notre consultation. Nous l'avons aidé à déposer une demande d'asile ultérieure, nous avons collecté des informations des docteurs traitant et les ont envoyés au Bundesamt, aussi quand Madame Ferhatovic survivait à un arrêt cardiaque et elle recevait un stimulateur cardiaque.
Pour le Bundesamt, c'était bien clair : Des obstacles à l'expulsion étaient légitimés dans un délai de quelque semaine. Madame Ferhatovic peut rester en Allemagne finalement, parce-que ne personne a le droit de la mener tête baissée à la mort.
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